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Le Lac Léman


C'est de Montreux qu'on peut avoir les meilleures photos du Lac Léman car on est beaucoup plus proche des montagnes.

Montreux est une très jolie ville exceptionnellement fleurie. En se promenant le long du lac à Montreux on a l'impression de se trouver au bord de la Méditerranée car il y a de très nombreux pins et plantes tropicales. Mais on a l'avantage d'avoir une vue splendide sur les montagnes enneigées des Alpes et d'y respirer le bon air pur de la Suisse.


Vu depuis Montreux
Photo publiée le 19-09-2011 par Indigene
Mise à jour de la description le 06-05-2014


Voilier sur le lac Léman


Le Lac de Genève est bordé de nombreux clubs nautiques qui permettent l'initiation à la voile sur le Lac Léman.

Le lac Léman couvre une superficie de 581 km2. Il est le plus grand lac Européen et se situe entre la France et la Suisse. De nombreuses sociétés proposent des locations de voilier, avec ou sans skipper. Les locations peuvent être à la journée ou à la semaine.

Découvrir la voile sur le Lac Léman peut être une activité très attractive. Pour ceux qui savent déjà naviguer, la location pour une semaine ne coûte que 1500 €. Si ce n'est que pour une découverte de la voile il peut être plus sécurisant de la pratiquer sur un lac plutôt qu'en pleine mer.

Le commerce de la voile sur le Lac de Genève est très florissant et vous pouvez profitez de vos vacances en découvrant ces merveilleux paysages d'une façon originale.
Pour découvrir la Suisse d'une autre façon
Photo publiée le 19-09-2011 par Indigene
Mise à jour de la description le 06-05-2014


Le Pont d'Arciat


Construit en 1950, sur la RD 31, le pont d’Arciat permet de franchir la Saône, environ 9 km au sud de Mâcon, entre Cormoranche-sur-Saône, dans le département de l’Ain, et Crèches-sur-Saône en Saône-et-Loire.

L'ancien Pont d'Arciat


Ce pont d'Arciat avait été détruit pendant la guerre et sa reconstruction en 1950 n'était que provisoire. Mais plus de cinquante ans après il est toujours en place avec un flux quotidien de près de 3 000 véhicules dans chaque sens. Son tablier métallique n’était plus en état de supporter un tel trafic, comme des analyses datant de 1999 avaient pu le démontrer. Il avait notamment beaucoup souffert en 1992 lors des blocages routiers car des camions de 38 tonnes étaient passé en grand nombre sur ce pont qui avait bougé. Il avait été fermé quelque temps à la circulation.

Aussi, et plutôt que de s’engager dans des réparations jugées impossibles, et afin d’assurer une sécurité optimale aux usagers, les deux départements propriétaires ont décidé de construire un nouveau pont, en le situant une centaine de mètres en amont de l’ouvrage existant, pour des questions de faisabilité.

Mise en place d'un tablier provisoire sur le Pont d'Arciat


Dans l’attente de la construction du nouveau pont, un tablier provisoire reposant sur les appuis actuels, a été installé, avec une seule voie de circulation alternée limitée à 3,5 tonnes. Cette structure, louée au Centre national des ponts de secours (CNPS), représente bien sûr une charge assez lourde pour les deux départements, mais elle a permis la réouverture du pont d’Arciat à la circulation alternée par des feux de signalisation.

Quant au nouveau pont, la maîtrise d’oeuvre a été confiée au cabinet Thales Engineering et Consulting qui a participé à la construction du pont de Bourgogne à Chalon-sur-Saône et au viaduc de Millau, ainsi que le pont du Loup sur le Drac. Ce n'est qu'en 2007 qu'il sera ouvert à la circulation. Sur cette photo prise en 2004 il n'existe pas encore et les travaux n'ont même pas commencé.

Les étapes de la construction d'un pont


Les esquisses du nouveau pont et le projet technique sont prévus pour 2004.
L'année 2005 sera passée en consultations des différents prestataires et en études d’exécution et de préparation du chantier.
La construction du nouveau pont n'est prévue pour débuter qu'en 2006, pour une livraison en 2007.
Il faudra alors procéder au démontage du nouveau pont. La vente des structures métalliques servira à financer une partie du projet.

Le nouveau Pont d'Arciat


Cet ouvrage, intégré au circuit des Voies bleues, dispose de deux voies de circulation de trois mètres chacune. Il est accessible depuis les pistes cyclables le long de la Saône.

Son coût, comprenant l’ouvrage lui-même et ses raccordements de part et d’autre, a été évalué à 13 millions d'Euros, partagés à part égale entre les départements de la Saône-et-Loire (maître d’ouvrage) et de l’Ain.

Bien évidemment, et compte tenu des contraintes imposées aux usagers du pont provisoire en circulation alternée, la réalisation de cet ouvrage et sa mise en service en 2007 étaient très attendues.

Le nouveau Pont d'Arciat est maintenant terminé et cette photo n'est plus qu'un souvenir de l'ancien pont qui a été détruit.

Sources : le Magazine du Conseil général de l’Ain • n° 20 • juin 2004

Sur la Saône
Photo publiée le 27-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 05-06-2014


La rivière d'Ain et ses galets



Elle délimite les Dombes à l'est
Photo publiée le 21-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 21-05-2014


L'embarcadère à Montreux


Sissi prend le bateau à vapeur à l'embarcadère de Montreux avant d'être poignardée


La navigation à vapeur se pratique sur le Lac Léman depuis 1823. C'est peut être depuis cet embarcadère que Sissi, l'impératrice d'Autriche, a pris un de ces bateaux pour se rendre à Genève le 9 septembre 1898. Elle devait déjeuner avec le Baron de Rothschild. Elle passa la nuit suivante à l’hôtel Beau Rivage et partit dans l'après-midi du lendemain avec sa dame de compagnie pour revenir sur Montreux. Elle décline l'offre de la baronne de Rothschild d'utiliser leur yacht privé et c'est à l'embarcadère qu'elle va prendre le bateau à aube.

A quelques pas de l'embarcadère elle fut violemment poignardée par un anarchiste italien : Luigi Lucheni. Ce dernier a utilisé une lime affilée pour commettre son crime. Sur le coup, l'impératrice ne se rend pas compte de la gravité de sa blessure. Elle parvint à monter à bord et c'est une fois que le bateau est parti qu'elle découvre qu'elle a une très grave blessure au torse. Il n'y a pas de médecin à bord et le bateau va donc faire demi-tour pour revenir à l'embarcadère.

Elisabeth d'Autriche fut ramenée à l'hôtel Beau-Rivage sur une civière improvisée. Elle mourut après une heure d’agonie à l'âge de 60 ans.
Photo publiée le 29-03-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 14-05-2014


L'automne à Montreux


L'automne à Montreux est généralement doux et agréable. Les températures clémentes offrent souvent un bel « été indien » qui s'installe à Montreux parfois jusqu'à la fin du mois d'octobre. On assiste alors à une explosion de couleurs chaudes qui se mêlent au bleu azur du lac et au blanc des cimes enneigées des alpes Suisses.

Montreux est une ville très agréable à vivre. On s'y croirait parfois un peu comme au bord de la méditerranée. Au printemps elle est extrêmement fleurie et les étés ne sont pas très chaud en raison de la présence des montagnes et de l'air frais qui se dégage de l'altitude. L'hiver n'est pas non plus très rigoureux car l'eau du lac apporte un peu de douceur. On a pourtant vu parfois des scènes spectaculaires de tout ce qui se trouvait sur les rives du lac recouvert d'une épaisse couche de glace qui s'est formé suite aux embruns envoyé par les vents violents d'une tempête.

C'est à Montreux que se trouve le célèbre Château de Chillon et la statue de Freddie Mercury, le défunt chanteur du groupe Queen.


Photo publiée le 29-03-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 06-07-2014


Le lac de la Forêt d'Orient


Le Lac de la Forêt d'Orient se trouve près de Troyes, dans l'Aube, en plein cœur du Parc Naturel de la Forêt d'Orient.

Il existe en réalité trois grand Lacs :
     le Lac Amance et Port-Dienville
     le Lac d'Orient
     le Lac du Temple

Lac Amance


Port Dienville est le port d’attache de tous les passionnés de motonautisme. On peut y pratiquer le bateau à moteur et le ski nautique. La base de loisir propose aussi du jet ski et des animations, des soirées dansantes,...

Lac d'Orient


Ce lac est réservé aux activités non motorisées. Il s'agit d'un lac-réservoir de la Seine. Il est entièrement artificiel et a été mis en service en 1966. Il s'étend sur une superficie de 2300 hectares. Ce lac artificiel a pour mission de renforcer le débit de la Seine en cas de grande sécheresse et de limiter l'ampleur des crues.

Lac du Temple


Il s'agit d'un environnement préservé. Les Templiers auraient enfoui leur fabuleux trésor dans la forêt d’Orient. Le Lac du Temple, par sa beauté sauvage, séduit les amoureux de la nature et fait la joie des pêcheurs.
Près de Troyes
Photo publiée le 19-09-2011 par Indigene
Mise à jour de la description le 06-05-2014


Descente du Gardon en Canoë



Photo publiée le 05-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 06-05-2014


La barque


Cette barque sur les bords de la Saône à sérieusement besoin d'être écopée pour éliminer l'eau qui se trouve à l'intérieur. Des pêcheurs s'en servent parfois pour aller pêcher au milieu de la rivière ou pour se déplacer plus facilement d'un point de pêche à un autre quand ceux-ci sont difficile d'accès.

Les barques servaient autrefois à traverser la rivière et en cas de crue il est bien pratique d'en avoir une pour se déplacer dans les rues. La Saône était très souvent en crue avant que ne soit creusé le canal de dérivation qui permet de contourner le Pont de Saint Laurent, classé monument historique, qui faisait obstacle au passage des grosses péniches venant de Marseille et cherchant à rejoindre le Rhin.
Photo publiée le 23-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 21-05-2014


La rivière Saône à Mâcon


Mâcon est une ville très ancienne qui existait déjà du temps de César. Elle est construite sur le versant d'une colline sur la rive droite de la Saône.

Quand les Bourguignons s'établirent dans cette contrée, la ville était mal bâtie, mais elle s'embellit de jour en jour. Les remparts furent démolis et une belle promenade fut construite sur les quais de la Saône.

Ces quais étaient autrefois très utilisés par les bateliers qui effectuaient le halage des péniches à la force des chevaux.

La Saône et ses crues


La Saône, cette paisible rivière, prend sa source dans les Vosges et semble, dans son état normal, se détacher avec peine des rives fécondes qu'elle arrose, et s'unir au Rhône avec regret. Mais cette rivière est pourtant fugueuse plusieurs fois dans l'année. Elle s'échappe alors de son lit et fait irruption dans les campagnes voisines et même parfois jusque dans les villes. Je me souviens de quand j'étais petit et qu'il fallait marcher sur des planches installées sur des moellons quand on allait faire des courses dans les rues piétonnes de Mâcon.

Semblable au Nil qui fertilise l'Egypte, la Saône s'étend mollement, au printemps, avant la pousse de l'herbe, ou à l'automne après le fenage, sur de vastes prairies habituées à ses caresses, et qui la reçoivent, dans ses tranquilles excursions, comme un bienfait. Les crues de la Saône n'ont en effet rien à voir avec un torrent de montagne qui peut se mettre à déborder en quelques heures. Avec la Saône tout se passe lentement. La montée des eaux prend en général 9 jours. Et ensuite elle se stabilise avant de redescendre plus ou moins rapidement ou alors il y a une recrudescence des eaux pendant à nouveau 9 jours. Elle est bien différente en cela du Rhône, qui en quarante-huit heures parvient à son apogée de croissance, et en vingt-quatre heures reprend son allure normale.

L'eau de la Saône transporte en son sein une vase fécondante qu'elle dépose dans les prairies en remplacement d'un engrais coûteux. Pénétrant le sol dans toutes ses parties et à de grandes profondeurs, elle le débarrasse d'insectes nuisibles et laisse après elle une fraicheur très favorable à l'abondance des récoltes.

Mais parfois il arrive que des crues soient plus importantes que d'autres et ravagent tout sur leur passage. Ce fut le cas en 580 et en 1840.

La crue de la Saône en 580


Les désastres de 580, époque de barbarie, dépassèrent tout ce que l'imagination humaine peut concevoir de
plus horrible, et ont été par conséquent supérieurs à ceux de 1840. D'après le récit de Grégoire de Tours,
le seul auteur ancien qui ait parlé de cette inondation, les habitants et les bestiaux furent presque tous noyés dans les maisons détruites. Les malheureux qui échappèrent à la fureur des eaux succombèrent à la famine et aux maladies.

Lyon, Mâcon, Chalon furent dépeuplés.

Il y eut encore par la suite de nouvelles grandes crues en 1196 et en 1408. La plus dramatique fut celle de 1423 qui emporta la grande arche du Pont de Saint-Laurent. C'est sur ce pont de Mâcon que ce trouve le saônomètre. Il s'agit d'une échelle fixée au pont pour indiquer diverses phases d'élévation des eaux. On peut lire sur ce saonomètre l'inscription 1640 au niveau d'une barre horizontale. Et en 1711 elle dépassa de 43 cm la hauteur qu'elle avait atteint en 1640.

La crue historique de 1840


Les crues montent de plus en plus haut


En un siècle, la Saône peut déposer jusqu'à 30 cm d'alluvions. Etant bordée à l'ouest par les monts du Mâconnais, elle ne peut s'étendre que du côté de l'est. Mais chaque année elle doit s'élever plus haut pour déverser son trop plein, ce qui signifie que Mâcon s'en trouve de plus en plus touché par les inondations.

Parfois les eaux commencent par remonter par les égouts, ce qui fait que la ville est inondée alors que la route principale qui traverse la ville en longeant la Saône est encore au sec.

En sept jours il est tombé l'équivalent de sept mois de pluie


La crue de 1840 commence au mois d'octobre. Il n'a cessé de pleuvoir depuis le 27 octobre, sans discontinuer, pendant 7 jours. En sept jours il est tombé plus d'eau qu'en sept mois. A cela doit s'ajouter la fonte des premières neiges des Vosges et du Jura.

Le 29 octobre, la Saône était à une hauteur à peine moyenne. Deux jours plus tard elle quittait son lit. Et le 2 novembre elle arrivait au niveau des plus fortes inondations. Elle finira par dépasser d'1m10 le record établi en 1711 !

La crue à Chalon


L'hôpital de Chalon-sur-Saône avait 30 cm d'eau dans ses rez-de-chaussée. Soixante maisons sont détruites et l'eau continuait à monter. Toutes les routes de la ville étaient submergées. Pour finir il y eut près de 80 maisons écroulées. La crue s'est stabilisée le 4 novembre mais les eaux menaçantes continuaient de s'écouler en direction de Mâcon.

Le saonomètre de Mâcon


Le saonomètre à Mâcon
Le saonomètre contre le Pont de Saint-Laurent

Combien de fois les Mâconnais, accoudés sur le parapet du Pont de Saint-Laurent, les yeux fixés sur le saonomètre, ont dut se dire en voyant la barre portant l'inscription 1711 :

« Comment est-il possible que la Saone soit parvenue à une telle hauteur ? »

Ils étaient loin de s'attendre à ce que le 5 novembre 1840 ce niveau soit non seulement atteint à nouveau mais dépassé d'1m10.

L'évacuation de Saint-Laurent


Le 31 octobre, les eaux approchaient de la barre de 1640. Le dimanche 1° novembre, deux maisons de trois étages s'écroulèrent à Saint-Laurent-sur-Saône. Elles étaient heureusement toutes neuves et pas encore habitées. Les habitants de Saint-Laurent sur Saône commencent à déménager précipitamment. C'est le faubourg tout entier qui déménage. Sur 1400 habitants il n'en resta plus que cents. Ils trouvent refuge à Mâcon qui n'est pas mieux loti car toutes les basses rues sont déjà inondées et les gens circulent sur des passerelles en planches installées par les pompiers. Mais les passerelles installées la veilles sont déjà submergées le lendemain et les pompiers n'hésitent pas à se jeter dans l'eau glacée pour rétablir les communications à chaque fois un peu plus haut.

Un service régulier de barques est mis en place car les passerelles ne suffisent plus.

Le 2 novembre, les prairies, comme on les appelle, ne sont plus qu'une vaste mer. Dans la commune de Saint-Laurent, le niveau des eaux atteint le premier étage des habitations. Au loin on pouvait voir flotter un berceau... contenait-il encore une victime ? Une barque fut lancée à sa rencontre et au grand soulagement de tous les spectateurs de la scène, le berceau était vide.

Une rue de mâcon s'écroule


Le lundi 2 novembre ce n'était dans Mâcon qu'un spectacle de désolation. Il y eut une rue toute entière où les maisons, alors construites en pisé, s'affaissèrent littéralement dès que l'eau eut dépassé le niveau de leurs fondations. C'est ce même jour que l'eau atteignit les 6m45 correspondant à l'inscription de 1711. Et elle continuait à monter.

Des villages ravagés


Maison détruite par l'inondation
Les dégâts de l'inondation de la Saône
Tous les villages de la plaine de la Saône, à l'est, n'étaient que ruines.

A Chavannes-sur-Reyssouze il ne restait plus qu'une seule maison debout.

Dans un autre village on a découvert une vieille dame infirme sur son lit. Les eaux mouillaient déjà la paillasse. Six poules partageaient le même refuge. Elle insista pour qu'on sauve les poules avant elle.

C'était d'ailleurs très courant que les habitants de la campagne commencent par sauver le bétail et les autres animaux avant de s'occuper de mettre à l'abri les provisions. La vie des personnes ne passait qu'en dernier.

Des vagues de 5 m de haut


Dans la journée du mercredi 4 novembre il y eut quelques rayons de soleil. Mais les habitants de Mâcon n'eurent que peu de temps pour profiter de ce répit car de nombreuses maisons, construites pourtant en pierre, menaçaient de s'écrouler. Ce fut un manège ininterrompu de déménagements en barque.

Et le lendemain, la pluie cessa enfin. Mais pour faire place à un vent d'est si violent qu'on raconte que des vagues de 5m de haut étaient soulevées et venaient fracasser les portes et les fenêtres, occasionnant de nouveaux dégâts.

Un paysage de désolation


Il faut attendre le samedi et le dimanche pour commencer à voir la Saône redescendre à raison de 17 cm par jour. En se retirant, l'eau laissait derrière elle un limon jaunâtre. L'odeur était infecte. Les habitants commencent alors à explorer les restes de leurs habitations, quand elles étaient encore debout. C'est l'heure du décompte de ses pertes, la désolation et parfois l'anéantissement devant de tels préjudices.

La grande crue de Mâcon de 1840 est montée à 8m05. Un record qui a failli être égalé en 1955 où l'eau s'est arrêté au niveau de la hauteur atteinte lors de la crue de 1711.

Graphique historique des crues de la Saône


     Source : http://macon71-meteo.pagesperso-orange.fr/index_fichiers/Page926.htm
Records historiques des crues de la Saône
Historique des crues de la Saône à Mâcon de plus de 6m depuis 1640



Références photographiques sur la crue de 2001 :
http://www.indigene.free.fr
http://www.indigene.free.fr
Ses crues sont fréquentes
Photo publiée le 23-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 12-06-2019

 

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