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Sandrine


Sandrine n'en est pas à sa première séance de poses puisqu'elle a déjà fait la couverture du magazine Miss Ebène Magazine. C'est donc une modèle expérimentée qui arrive pour cette séance qui se voulait sur le thème ethnique.

Sandrine n'est pas du tout d'origine africaine, elle est de la Guadeloupe, l'île des Soucougnans. Mais cette séance l'intéressait fortement car c'était un peu pour elle comme un retour aux sources avec les costumes traditionnels de la terre de ses lointains ancêtres.

Sandrine est arrivée au studio avec une énorme valise pleine de vêtements et de bijoux traditionnels africains. Elle m'a dit que si elle avait été accompagnée par sa maquilleuse elle serait alors arrivée avec deux énormes valises au lieu d'une !

Malgré tout cet attirail et ses bijoux personnels nous avons réalisé une séance avec peu de vêtements traditionnels et parfois des accessoires improvisés comme ce magnifique collier de perles qui n'en est pas vraiment un. Il s'agit en réalité d'une guirlande de Noël !

Nous nous sommes beaucoup amusés pendant cette séance photo inoubliable.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


Une beauté africaine


L'Afrique est le berceau de l'humanité. C'est aussi en Afrique que l'on a longtemps puisé les plus belles femmes que fournissait le continent noir pour les déporter dans le nouveau monde en tant qu'esclaves.

Quel homme n'a jamais eu d'attirance pour ces femmes cambrées aux reins solides et aux fessiers rebondis ? Elles ont les lèvres charnues et pulpeuses qui laisse entrevoir un sourire enchanteur.

Les femmes africaines ont souvent des formes généreuses avec une forte poitrine apte à donner le sein à une progéniture nombreuse. Elles sont parfois élancées avec de très longues jambes comme les éthiopiennes coureuses de fond. Elles balancent leur fessier avec une grâce divine au point d’en faire perdre la tête au curé du coin.

Leur voix est chaude et suave et quand elles lèvent les yeux sur nous ce sont deux rayons de soleil qui viennent nous frapper. La femme africaine toute entière transporte avec elle cette chaleur envoutante qui vient d'un continent tout entier.

La femme africaine est dotée d'une beauté naturelle et elle n'a pas besoin de grand chose pour plaire. Un simple pagne autour des hanches, un collier de perles autour du cou, un foulard sur la tête pour couvrir ses tresses ou ses nattes, et elle est belle, naturellement belle.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


La reine avec son sceptre


Telle la reine de Saba sur son trône en Ethiopie, elle tient fermement dans sa main son sceptre de bois d'ébène, symbole de sa divine sagesse. C'est tout l'art africain que l'on retrouve dans cette scène représentant la reine, chef de tribu.

Le chef est considéré comme un demi-dieu. Il détient le pouvoir, le savoir et la sagesse. Peu de femmes furent des maîtresses ethniques ou des chef de guerre. Le chef du village est choisi par les chefs de famille qui forment un conseil. Pour être chef de tribu il faut ensuite être ratifié par le peuple. Le chef est le centre et le symbole de l'unité de son peuple, le gardien des coutumes, le législateur et le maître de guerre. L'insigne de sa dignité divine est le trône sacré où son âme est incarnée et qui doit être consacrée par des sacrifices d'animaux et parfois des sacrifices humains. Le chef africain est entouré d'une pompe magnifique : parasol, couronne, sceptre, collier, gri-gri, ... Il ne se déplace jamais sans sa cour composée des plus belles jeunes filles de la tribu et des plus valeureux guerriers.


Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 12-06-2019


Douceur d'ébène


L'Afrique a toujours été un continent mystérieux, la terre des surprises et des épouvantes, le pays des contrastes inattendus, de l'extrême barbarie, des sacrifices, des chasseurs et des cannibales. Mais c'est sans compter la douceur de la femme africaine qui porte sur ses épaules les jarres de précieuse eau en même temps que toute la misère du monde.

Dans la savane africaines, les femmes travaillent sans relâche du matin jusqu'au soir. Elles sont levées dès les premières lueurs du jour et se couchent après tous les autres membres de la famille, après s'être occupées des enfants dont l'éducation leur incombe. Parfois elles travaillent dur dans les champs et elles doivent également préparer la nourriture pour toute la famille.

Les femmes africaines sont souvent mariées alors qu'elles ne sont encore que des enfants. Elles ont leur premier enfant alors qu'elles ne sont qu'adolescentes. On les voit souvent affairées à leur besogne quotidiennes avec un bébé accroché au sein et un autre dans le ventre, et de tout-petits marmots encore accrochés à leurs basques.

Femme noire, femme africaine, la détresse que tu traverses te donne une force dont personne ne peut ignorer. Femme black, femme africaine, sèche tes larmes qui pourraient te voiler ton doux visage alors que tu as vraiment besoin d'ouvrir grandement tes yeux et surtout ceux de ton cœur. Tu as besoin de chercher au fond de toi ce qui pourrait t'aider à te relever et poursuivre la voie de la liberté, tu as besoin d'y voir clair afin d'aider celle qui n'a pas encore compris dans quel temps nous sommes. Il te faut un répit que tu trouves en posant délicatement ta joue contre ton bras couleur d'ébène.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


African colors


L'Afrique est un continent riche de milliers d’ethnies, de coutumes locales et d’histoires ancestrales. C'est la terre qui est mère de toute l'humanité et elle arbore pourtant tellement de paysages tous aussi sauvages et colorés les uns que les autres, comme pour faire raisonner le souvenir de ses origines.

Les couleurs de l'Afrique sont le jaune et le rouge, des couleurs vives qui rappellent le soleil omniprésent dans cette partie du globe. On y rencontre aussi le vert de ses forêts équatoriales qui s'étendent, immenses et encore vierges de civilisation, de l'ouest jusqu'à l'est.

Le rouge et le jaune s'accordent parfaitement à la couleur noire de la peau des peuples que l'on y rencontre. Sandrine n'a pas besoin de collier de diamant pour révéler sa beauté africaine. Le diamant c'est elle. C'est son physique coloré de rêve qui met en valeur ce collier de perles, entourée de plumeaux trempés dans des teintures aux couleurs vives, aux couleurs de l'Afrique.

Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


Parures africaines


Les femmes africaines sont très souvent ornées de parures. Les perles représentent pour elles un bon moyen pour séduire les hommes. Les femmes zoulou sont expertes dans l'art du tissage de perles. Elles portaient des colliers de perles autour des hanches.

Si les perles sont l'apanage de la femme africaine, il en est de même pour les bracelets qu'elles portent soit au poignet, pouvant remonter jusqu'à la moitié de l'avant-bras, soit autour des biceps, parfois les deux. Les jeunes filles raffolent de ces bracelets en métal ou en bois.

Parmi les parures africaines les plus connues on peut citer les bracelets Touareg du Sénégal, les parures de perles zoulou d'Afrique du Sud, les boucles d'oreilles en raphia du Kenya.

L'origine des parures


Il faut remonter à la préhistoire pour retrouver l'origine des parures. Les bracelets servaient sans doute à protéger les articulations. Pour l'Afrique, les bijoux ethniques positionnent la personne qui les porte sur un rang hiérarchique au sein de la société ou de la tribu.

Beaucoup de bijoux sont associés à des croyances religieuses. Il existe des bijoux de cérémonie et de culte qui ne sont pas portés au quotidien. Les boucles d'oreille servaient à la base à chasser les mauvais esprits pour qu'ils ne s'introduisent pas dans la tête des gens par les orifices. Il en est de même pour les boucles de nez. Ils étaient portés aussi bien par les hommes que par les femmes.

On appelle souvent les parures africaine des « gri-gri » car elles sont bien souvent associées aux sciences divinatoires et aux superstitions locales.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


Fierté africaine


La fierté du peuple africain est légendaire. Le peuple noir a beaucoup payé de sa personne à l'époque dramatique de la traite des nègres qui étaient acheminés par bateau dans le nouveau monde pour être réduits à l'esclavage.

Trois siècles d'esclavage


Pendant trois siècles il y a eut plus de dix millions de déportés et de déracinés pour le compte de l'esclavage. La France y a beaucoup participé avec le port négrier de Nantes d'où partaient les bateaux destinés à transporter ce qu'il appelaient « le bois d'ébène ».

A l'arrivée au port, le bateau était entouré d'un grand filet pour éviter les suicides. Pendant la traversée il y avait plus de 30% des esclaves qui n'arrivaient jamais au bout. Les esclaves étaient nus pour éviter la vermine. Seule les femmes portaient un cache-sexe et un pagne autour de la taille. Des femmes noires étaient désignées pour s'occuper des femmes enceintes, car elles aussi faisaient partie du voyage.

La France conduisait principalement les esclaves dans les Antilles (Guadeloupe, Martinique, ...) où ils travaillaient dans les plantations et continuaient à pratiquer ce qui devint plus tard la magie antillaise. Un « code noir » a même été instauré pour priver les esclaves de tout droit naturel. Il faisait partie du code pénale depuis 1810. Les esclaves étaient marqués au fer rouge. S'ils s'échappaient on les marquait d'une fleur de lys sur l'épaule droite. A la seconde tentative on les marquait également sur l'épaule gauche et on leur sectionnait le tendon d'Achille.

Il faut attendre le 21 mai 2001 pour que la France fasse voter une loi reconnaissant l'esclavage auquel elle a participé comme un crime contre l'humanité.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


Tribal


Dans les anciennes tribus africaine, les parures étaient le signe distinctif de l'échelle sociale. La chef de la tribu portait un sceptre qui était un bâton gravé et décoré qui se transmettait de génération en génération. Le sceptre était le bâton du commandement. Il se présentait parfois comme une canne qui aidait le chef du clan, souvent très âgé, à se déplacer. Le sceptre est donc également un symbole de sagesse communiquée par les ancêtres.

L'art tribal africain, appelé parfois « art nègre », se décline sous différentes formes. Alors que l'Europe était encore plongée dans la préhistoire, des civilisations ont vécu et se sont succédé en Afrique. Il y a bien sur eu les Egyptiens pendant l'Antiquité. Ils occupaient l'Egypte actuelle et le Soudan. En Erythrée et en Somalie on connu une autre civilisation très ancienne qui date de l'époque de J.-C. Les tribus se regroupaient autour des grands fleuves tels que le Nil et le Niger. Quand toute l'Europe était plongée dans l'époque des grandes invasions barbares, l'Afrique connaissait des Empires comme l'Empire du Ghâna qui survécu jusqu'au XIIIe siècle. Il fut remplacé ensuite par d'autres Empires.

Les ethnies africaines, très souvent sujettes à des guerres tribales, peuvent avoir des sceptres qui sont des armes utilisées au combat (haches, lances, ...).
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 28-10-2016


La reine au papillon


Les ailes de papillon permettent de converser plus facilement avec les dieux


Le papillon est l'attribut le plus ordinaire de l'amour. L'amour est souvent représenté avec des ailes de papillon. Le sceptre est, quant à lui, le symbole du commandement, mais aussi celui de la magie. On représente souvent les fées, dans le monde occidental, avec une baguette magique. Mais en Afrique, elles sont représentées avec un sceptre. Toujours en Afrique, les sorciers sont également souvent représentés avec des ailes, car ils peuvent ainsi mieux converser avec les Dieux qui se trouvent dans le firmament.

La réponse aux prières des vivants


Quoi de plus naturel que des ailes de papillon pour une reine de tribu qui porte en elle l'amour pour son peuple et qui pratique la magie pour faire venir la pluie qui est si rare sur les terres africaines. Quand survient la pluie, ce n'est jamais le fruit du hasard ou celui de la météo. La pluie est envoyée par les dieux en réponse aux prières des vivants.

Comment faire venir la pluie ?


Pour faire venir la pluie il faut pratiquer de savants rituels qui utilisent différentes techniques ancestrales. Le sorcier utilise de nombreuses statuettes ou des poupées qui se rapprochent des poupées vaudou. Il peut aussi utiliser des instruments de musique car la musique est l'un des langages qui permet d'entrer en contact avec les divinités. Il porte bien souvent un masque en bois pour que les dieux le reconnaissent plus facilement. Le sorcier va utiliser différents masques en fonction de la divinité à laquelle il s'adresse. Lors des rituels magiques, la fée papillon tient toujours le sceptre dans sa main, comme s'il s'agissait d'une baguette magique.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 12-06-2019


Princesse africaine


Après un très long périple, la Princesse Sand est enfin de retour dans son village natal d'Afrique. Mais c'est pour découvrir que la Reine Zendiha, sa mère, a été enlevée par des trafiquants d'esclaves. Ils l'ont emmenée sur l'île de Zanzibar pour la vendre au sultan qui la tient prisonnière dans son harem. Avec l'aide des villageois de sa tribu, Sand décide d'aller la délivrer et elle hérite du sceptre de la reine du village, étant l'héritière directe de la Reine Zendiha.

Le voyage vers Zanzibar


Il y avait si longtemps que Sand n’avait pas revu sa terre natale, et voilà qu'à peine arrivée, elle doit repartir pour un lointain périple à travers l'Afrique, mais cette fois en chef de guerre et non en simple touriste.

Elle abandonne sa maison et sa valise pleine de vêtements occidentaux pour revêtir le pagne traditionnel de sa tribu et enrouler autour de son cou le collier de perles qui fait d'elle une divinité descendue sur terre pour guider son peuple de la pointe de son sceptre de Reine de la tribu de Zimbabab.

Après de longues semaines de marche dans le désert, le gravissement de montagnes à la tête chauve, la traversée de la savane pleine de fauves, Sand touchait presque le but de sa périlleuse quête à travers l'Afrique. Il ne restait devant elle qu'une rivière infestée de crocodiles à traverser. Vous savez, ces gros crocodiles qui ont la 4° dent qui sort à l'extérieur de leurs babines, un peu comme deux dents de vampires.

Bientôt elle pourrait prendre les pirogues avec son peuple guerrier et traverser cette mer qui la conduirait jusqu'à l'île de Zanzibar. Elle pourrait se jeter dans les bras de sa mère, enfin délivrée du Sultan qui abusait d'elle. Mais il y avait encore cette maudite rivière à traverser.

Sand, la princesse africaine au collier de perles, a failli mourir plusieurs fois pendant son voyage. après la soif dans le désert aride, elle échappa à un incendie de brousse, où elle failli être brûlée vive, pour ensuite manquer être abattue par des chasseurs d'esclaves qui prirent la fuite devant la charge d'un troupeau d'éléphants. De justesse elle évita d'être piétinée par les gros pachydermes et voilà qu'elle finirait son aventure entre les mâchoires d'un crocodile de 8m de long ...

La rivière aux crocodiles


Le cortège royal approchait. Tous ses amis étaient à ses côtés, transportant à bout de bras le radeau qu'ils avaient confectionné pour traverser la rivière, dernière étape de ce long voyage depuis le territoire des Zimbabad, le peuple zoulou. Ils avaient franchi ensemble des obstacles insurmontables. Ils avaient affronté la mort avec elle. Et ils étaient toujours là.

Le radeau où se tenaient la Princesse Sand et ses amis était maintenant sur les eaux boueuses du fleuve. Tous les crocodiles contemplaient le cortège de cette grande souveraine qui osait les braver sur leur territoire. Les hommes sur le radeau étaient tous prêts à lancer leurs lances à la pointe acérée comme la dent du serpent.

Le soleil se mit à briller plus fort et les perles du collier de Sand projetèrent dans toutes les directions comme des éclairs de lumière qui aveuglèrent les crocodiles. Le radeau arriva enfin sur la berge opposée et il pu accoster sans encombre. Le périlleux voyage était presque terminé. La princesse africaine, cette belle indigène, était promue au titre de déesse vivante par son peuple après cet épisode de la traversée de la rivière aux crocodiles.
Photo publiée le 25-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 05-06-2014

 

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